FAQ

Quelle est la différence entre un relevé photogrammétrique et un relevé laser ?

Le relevé photogrammétrique exploite des photos en 2 dimensions pour parvenir à créer un modèle en 3 dimensions. Le Lidar balaye une surface à l’aide d’un laser et permet d’obtenir directement un nuage de points en 3 dimensions. Le Lidar est couteux à mettre en oeuvre mais il s’affanchit du couvert végétal. La photogrammétrie est moins couteuse à l’hectare mais le couvert végétal ne lui permet pas de voir l’information en dessous.

Quelle est l'autonomie d'un drone ?

Les drones que nous exploitons ont des autonomies comprises entre 15 et 35 minutes. Cependant, cette autonomie peut être réduite par vent fort, à cause d’une altitude élevée ou d’une température faible. Le télépilote prend en compte l’ensemble de ces paramètres pour planifier ses missions.

Quelle est la différence entre un drone professionnel et un drone de loisir ?

Tout exploitant professionnel doit répondre aux exigences des arrêtés du 17 décembre 2015. Un citoyen qui utilise un drone de loisir entre dans la catégories des aéromodèles.Il existe un guide édité par la DGAC pour les aéromodèles : ici.

Quelle est la précision des modèles 3D que vous construisez ?

Un article détaillé se situe ici.

Pouvez-vous voler de nuit avec vos drones ?

Non. La réglementation nous impose de ne pas voler durant la nuit aéronautique. Cette nuit débute 30 minutes après le coucher du soleil et se termine 30 minutes avant le levé du soleil. Cependant, des dérogations peuvent être obtenues pour des cas particuliers et des périodes limitées. Nous en avons déjà obtenus pour certaines mission et nous maîtrisons les démarches.

Les vidéos sont-elles stables ?

Oui, grâce à l’emploi de nacelles stabilisées sur 3 axes, les vidéos sont stables et ne dépendent pas des mouvements du drone.

Pour les cas les plus délicats, une post-stabilisation permet d’affiner la qualité du rendu.

Jusqu'à quelle altitude pouvez-vous voler ?

Techniquement les drones que nous utilisons pourraient voler au moins à 800 m d’altitude. Cependant, la réglementation Française en vigueur impose une limitation d’altitude de 150 m par rapport au point de décollage. Cette altitude est bien suffisante pour la plupart des applications.

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